Dépendance à l'alcool.
(Première partie)
« La dépendance »
« Parfois, on est pressé de se guérir d’une dépendance. »
Il faut savoir que cela prend du temps parce que ça nous oblige à rectifier une par une les écritures enregistrées dans notre subconscient. Une simple dépendance indique qu’on a un grand nombre de choses à régler à l’intérieur de soi.
C’est pour cette raison qu’on se met à travailler comme une petite fourmi qui un jour deviendra un aigle, lequel deviendra plus tard un Ange.
Graduellement, on rectifie écriture sur écriture ; mais il est important de suivre son propre rythme, de ne pas le bousculer.
« Dépendance à l’alcool »
Afin de comprendre la dépendance à l’alcool, il faut faire la corrélation suivante :
L’alcool, c’est du liquide, et le liquide représente le monde des émotions.
La dépendance à l’alcool a donc trait à un problème émotionnel non résolu.
Voici une chose importante à savoir quand on côtoie des personnes dépendantes : il ne faut jamais faire de jugements.
On doit les laisser évoluer à leur propre rythme, même si pendant de longues périodes elles ne font aucun progrès.
C’est la personne qui doit décider de faire un pas, et la compréhension de sa situation doit venir de l’intérieur d’elle-même.
On doit se rappeler qu’il peut s’agir d’une personne qui a de hautes aspirations spirituelles, mais que ses instincts sont un peu éparpillés.
Il y a toute une partie d’elle-même qui veut s’abreuver, qui a soif et qui s’enivre d’alcool au lieu de s’enivrer du Divin.
Quand on comprend ce phénomène, on n’a pas besoin d’avoir honte et on peut, petit à petit et grâce à l’aide des états de conscience angéliques, arriver à régler ces dépendances.
Avec cette compréhension, on n’a plus besoin d’interdictions.
Il n’y a rien de plus difficile qu’une interdiction ou une inhibition.
Il est en effet difficile de se dire :
« Je sais que je ne devrai plus jamais toucher à ça de toute ma vie. »
Toute interdiction crée un compartiment dans la conscience.
Mais il est vrai qu’en un premier temps un sevrage est indispensable.
On est la seule personne qui peut savoir quand on est guéri de façon définitive. Et on le sait parce qu’on est allé explorer notre problème dans le monde des causes.
On a eu des rêves de purification, des sueurs, et on a dépassé la soif.
On peut voir les autres boire de l’alcool et ça ne nous dérange plus.
Et lorsqu’on a des épreuves, des peines à traverser, plus rien ne parvient à nous déranger.
Avec l’enseignement des Anges, l’expression ne plus être dérangé est la clé qui ouvre sur le miroir le plus parfait qui soit.
Les gens sont toujours pressés d’atteindre leurs buts.
Mais il faut savoir que dès qu’on a une attente, peu importe l’aspect qu’elle prend _ d’y arriver à l’intérieur d’un certain temps, de plaire aux autres, etc… _ ça veut dire qu’on a pas encore atteint l’objectif, car le travail de transformation est éternel comme l’est le renouvellement de la vie.
Cela s’applique à toutes les étapes que nous avons à traverser durant l’ascension vers l’illumination, vers la maîtrise de la Sagesse.
Lorsque nous y arriverons, nous n’avons plus besoin d’interdictions car nous avons la connaissance du Bien et du Mal.
Extrait tiré du livre Les Ailes de la Vie 2° édition
Psychologie initiatique.
Kaya et Christiane Muller.
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