Le Yéti
« Des primates à l’homme »
« Le yéti »
Il y a environ 35 millions d’années, les grands singes tels que les gorilles, les chimpanzés et les orangs-outans, commencèrent à se différencier des hominiens. Restés arboricoles pour la plupart, leurs mains et leurs bras se développèrent pour mieux s’adapter à leur habitude de sauter de branche en branche.
Parmi ces primates, certains se placent sur la ligne évolutive qui mène à l’homme, tels : l’égyptopithèque (20 à 30 millions d’années), le ramapithèque (12 à 14 millions d’années), l’australopithèque qui serait notre ancêtre commun.
C’est à cet embranchement que les esprits font intervenir le yéti ou tant d’autres noms suivant les régions.
Toujours est-il que les chercheurs s’interrogent et enquêtent. Il en ressort pour certains, l’existence réelle et prouvée du yéti (étude ADN) et l’hypothèse timide mais émise : ce yéti est-il ce chaînon manquant, le trait d’union supposé qui relie les anthropoïdes aux hominiens, une sorte de pithécanthrope refoulé peu à peu par l’homo sapiens ?
Voici ce que nous répondent les esprits :
« Le yéti, esprit animal, s’est incarné dans des familles d’australopithèques pour parfaire son évolution car ce corps était adapté à ses besoins, présents et futurs. L’australopithèque a continué son évolution pour donner naissance à la famille des primates que nous connaissons aujourd’hui.
Le yéti est ce fameux chaînon manquant qui fait tant chercher et enquêter le monde scientifique car il a permis à l’esprit humain que nous sommes de s’incarner et de parfaire ce corps pour donner l’homo sapiens-sapiens.
Cet animal, qui a prêté en quelque sorte son enveloppe charnelle à l’incarnation de la nature humaine sur la terre, a continué d’être et continue d’exister. »
Nous savons par les communications que nous recevons du monde des esprits, que sa morphologie est très proche de celle de l’homme dit préhistorique :
« Il sait développer une intelligence particulière, il sait donc utiliser la pierre, fabriquer l’outil, construire certains habitacles à partir de paille ou de bois, mais il n’a pas l’autonomie de l’homme, il n’a pas la réflexion de l’homme, il n’a pas l’esprit de l’homme.
Le yéti est donc un animal proche dans sa texture physique de la nature humaine, doté d’un instinct supérieur à l’animal commun. »
Extrait tiré du Journal Spirite n°83
Du Cercle Spirite Allan Kardec de Nancy.